Demande anticipée d'aide médicale à mourir : le Bas-Saint-Laurent prêt à faire face à la musique

par Salle des nouvelles

Crédit photo : Les Sentiers

Le Bas-St-Laurent est bien équipé pour répondre aux demandes d’aide médicale à mourir anticipée, qui sont maintenant admises dans la province depuis le 30 octobre.

C’est l’avis du d’Éric Paradis, un médecin de la région qui prodigue des soins de fin de vie. Selon lui, la structure est bien organisée avec des équipes qui travaillent à évaluer et suivre les demandes reçues.

Selon lui, cette solidité au niveau structural devrait supporter les nouvelles demandes qui, même acheminées aujourd’hui, ne pourraient être appliquées que dans plusieurs mois.

Aussi, quant à savoir s’il anticipait que des patients s’inquiètent face à l’illégalité de la démarche en vertu du Code criminel, Éric Paradis a été clair. Le CISSS du Bas-Saint-Laurent suivra religieusement les recommandations du Collège des médecins du Québec et de l’Ordre des Infirmières et Infirmiers du Québec.

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